Newsletter No 1 - Octobre 2012


Chers amis, chers abonnés,

Voici de nombreux mois que vous n'avez pas eu de nouvelles de Regard conscient!

Absorbé par la rédaction d'un ouvrage qui devrait sortir prochainement, je n'ai guère eu le temps de m'occuper de notre site Internet.

Je souhaite cependant partager quelques mises à jour récentes, sous la forme d'une Newsletter que vous recevrez désormais périodiquement, si vous le souhaitez.

Vous trouverez ci-dessous le condensé de nos interventions récentes avec l'espoir qu'elles suscitent toujours votre intérêt.

Avec mes cordiaux messages,

Marc-André Cotton

P.S. Si vous ne voulez plus recevoir nos messages, cliquez sur le lien de désinscription en fin de page.


Le premier numéro de Peps vient de paraître!

Il s'agit d'un trimestriel de 68 pages, édité par des parents et dédié à la parentalité positive. J'y tiendrai une chronique régulière, dont voici celle d'octobre 2012 :

Mémoire familiale - Mais pourquoi nos enfants ont-ils besoin de savoir?

Vous pouvez consulter le sommaire de la revue et aussi vous y abonner!

Le 28e colloque de la Fédération française de psychothérapie et psychanalyse se tiendra à Paris les 12 et 13 octobre 2012.

Le vendredi soir, après la projection du film L'Affaire Freud (voir ci-dessous), je participerai à un débat avec Jefferey Moussaieff Masson et Olivier Maurel.

Le contenu de mon intervention est en ligne sur notre site : Freud et le déni de la conscience humaine.

Les éditions l'Instant présent viennent d'éditer L'affaire Freud, un film de Michel Meignant auquel ce dernier m'a aimablement proposé de participer.

Ce documentaire rapporte les recherches du psychanalyste Jeffrey Moussaieff Masson que Michel Meignan a interviewé et dont l'ouvrage Enquête aux archives de Freud vient d'être réédité.

Vous trouverez enfin sur notre site un texte que je devais présenter au 27e colloque de la FF2P, mais qui ne l'a pas été faute de temps :

Le lien meurtri de l'attachement.

En voici le résumé: L’enfant vit dans une continuité de conscience. C’est la perte de l’attachement qui l’en sépare durablement et l’enferme peu à peu dans la névrose.